Nous l’avons trouvé là, le cœur-espace, une infernale mécanique ouverte dans la salle des martyrs, le séduisant croque-mort pendu dans la forêt, dans ce lieu torrentiel, sous les ramures de l’espace, le logos tût dans la maison enfance, et puis cet ivrogne, immobile, seul dans l’automne, dans le val assombri ,rêvant d’un palais sur la mer après la condamnation à mort pour cinq sols, voici l’horizon qui s’est encore avancé vers le minuit et rend son dernier parfum.
dimanche 27 novembre 2011
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