Terrible et triste, écoute, au plein froid de l’automne, alanguie, dans une nuit de noces, l’illusion sacrée, les voix du vent égrènent un chapelet de prières, les parages en écho, une brèche ouverte, ci-après, la fin du monde, un amour ajourné et le paysage du soir sans arbre, nul exil, sur l’autel, nul repos, Moloch est repu de ruines.
vendredi 25 novembre 2011
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