Toujours recommencer.
Le cycle infini des paroles.
Un seul mot vidé de son sens
La bouche cousue.
Une langue qui peine
A se faire entendre.
Nos maux comme autant
D’ombres, errantes, qui
Surgissent sur le blanc de la page.
L’enfance du verbe que jamais
Ne se tarisse. En nous,
Comme une légende,Le miroir du cœur
lundi 3 décembre 2007
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