Notre langue est dans le deuil d'une enfance dont nous connaissons la terrible et sauvage beauté, bien plus qu'une ombre, inventée, pour les besoins de la cause. Au delà de la mort, dans le vertige musical des Légendes son père pleure son absence.
mercredi 25 avril 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire