vendredi 16 mars 2007

Solitude

Dans la ville peut être, un seul regard posé sur lui qui ne soit pas d'indifférence. Nous attendons de l'amour, si pauvre soit-il qu'il ne laisse pas notre corps nu, notre coeur seul, brûler en silence d'une caresse absente. Et le temps ne change rien à l'affaire. Nous restons d'éternels mendiants de l'amour.

1 commentaire:

quidam a dit…

Refuge de la solitude pour mieux se libérer de cette servitude volontaire.

Désillons les yeux un peu, La Bastille est toujours debout! Oui, nous nous sommes couchés, nous qui ne sommes rien d'autre que des chiens, quémandant caresses et promesses! La République peut avoir honte de ses citoyens assujettis! Liberté bafouée... Coeur oublié. N'attendons pas de l'Amour qu'il s'offre aux infirmes du coeur. La vie a un sens, insensés! Cela ne dépend que de nous... S'élever ou régresser.