Cette voix sourde entendue sur la ligne 8 du métro parisien, un homme transparent, sans domicile fixe probablement. De plus en plus nombreux sont les membres de la cohorte des ombres. Ces quelques mots qui vont droit au coeur, après l'indifférence face à son imploration : "C'est pas un discours de curé pourtant. C'est un discours pour vivre".
dimanche 25 mars 2007
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